Selon un dicton bien connu : « Partir, c'est mourir un peu »

 

Ce qui ne laisse pas indifférent l'humoriste qui le complète ainsi :

 

« Partir, c'est mourir un peu, mais mourir c'est partir beaucoup »

(Alphonse Allais)

 

Le poète n'est pas en reste qui use des procédés de la contrepèterie pour détourner le dicton et le teinter d'humour noir tout en affirmant son agnosticisme :

 

« Martyr, c'est pourrir un peu »

(Jacques Prévert, Paroles)

 

Sur un mode plus épicurien, étant attablé avec des ami(e)s nous évoquions avec gourmandise cette préparation culinaire qu'on appelle « petits farcis ». Il me vint à l'esprit cet à-peu-près qui eut le mérite de faire sourire les convives :

 

« Farcir, c'est nourrir un peu »