Vous avez sans doute remarqué que depuis la fin des vacances en septembre, je n'ai assuré dans ce blogue que le service minimum, à savoir la pensée du mois, en matière de mise en ligne de billets. Ce n'est pas que la matière ni les idées eussent manquées, mais depuis mon retour de la diagonale qui m'a menée de Montpellier au Cotentin, je n'ai fait que courir après le temps, ça n'a été qu'un empilement d'urgences à règler ou d'activités, intéressantes certes, mais prenantes et génératrices de documents, brochures, dépliants.... qui sont venus s'ajouter à mon stock habituel et m'empêtrer un peu plus dans la paperasse. Sans compter une espèce de broncho-pharyngite tenace qui a duré plus de deux mois et demi, m'a en partie gâché le séjour à Turin à l'occasion du Salon international du goût organisé par Slow Food.

Promis juré, je vais essayer, paradoxalement, de profiter de la période dite des fêtes pour me recentrer sur moi-même et sur ces rangements et rédactions que je veux mener à bien, puisque les sollicitations en matière d'activités (dégustations, restaurants, expositions, balades, concerts, théâtre ...) se font plus rares et que je n'ai pas de grand repas de réveillon à préparer cette année. Tout juste le « service après-vente » en donnant les recettes du repas « Cuisiner blanc pour blanc manger » que j'ai réalisé sous forme d'une démonstration participative le 29 novembre dernier au Centre Lacordaire. C'est l'objet des billets qui suivent.